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Le problème français


Non ce n’est ni les gilets jaunes ni le président de la République mais notre fiscalité qui est devenue folle. Avec un taux de prélèvement de 46,3%, nous sommes les premiers en Europe où la moyenne est de 34% et surtout ce taux a augmenté de 0,7% depuis 2016, presque aussi vite que le taux d’ozone !

Si nous collectons 46% de notre PIB, nous dépensons 56%. Cette situation, unique au Monde, est une impasse totale et la dette de 2300 milliards n’est soutenable que parce que les taux d’intérêts sont exceptionnellement bas.

Il n’existe qu’une seule solution : réduire la fiscalité et DIMINUER les dépenses.

Emmanuel Macron le sait, alors on attend quoi ??

Commentaires

Commentaire de Michel
Date: 15 décembre 2018, 19:20

Notre dette, il faut comparer des chiffres comparables. Tous n’incluent pas la même chose .
S’il il y a un gros prélèvement, il faut une distribution équivalente et équitable. C’est le gaspillage le problème.
La fraude fiscale, l’évasion fiscale, les niches fiscales…. Les subventions au entreprises, aux banques, aux pétroliers, aux agriculteurs…
Devinez où se trouve l’assistanat ?

Commentaire de Michel
Date: 15 décembre 2018, 19:32

L BCE injecte tous les jours des milliards qui n’ont aucune valeur, sans contrepartie, sauf comptable.
Notre dette en grande partie est donc sans valeur, sauf comptable.
Elle ne sert qu’à enrichir nos créanciers.
La dette italienne ou japonaise, supérieure à la notre est détenue majoritairement par les Italiens et Japonais (pour le Japon, c’est un peu différent, l’état est en train de racheter la dette )
Le cas de la France est critique car notre dette est détenue par la finance internationale, qui nous tient donc par le cou .
C’est le résultat de 40 ans de travail de la société du Mont Pèlerin.

Commentaire de Sabeko
Date: 25 janvier 2019, 19:17

La dette a servi d’épouvantail pour nous faire avaler quelques égarements fiscaux pendant une dizaine d’années… Au fond, la question n’est peut-être pas celle de la quantité de dette, combien, mais sa qualité, à quoi elle sert.

Des dépenses plus rationnelles permettraient sans doute de libérer les couches les plus pauvres de l’imposition.

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