Le 24 mars était une journée importante pour les malades, les anciens malades et plus largement l’ensemble des français puisque tout le monde peut être à un moment touché par un cancer. En effet, le 24 mars était signé un protocole d’accord pour encadrer un « droit à l’oubli » qui permettra aux personnes guéries d’un cancer de ne plus être pénalisés au moment de contracter un emprunt. Beaucoup d’anciens malades et d’associations soulignaient cette « double peine », d’abord physique puis sociale.

Aujourd’hui, les choses avancent et je m’en réjouis.

Ce nouveau droit s’appliquera d’ici la fin de l’année aux enfants ayant souffert d’un cancer, ainsi qu’à tous les anciens malades atteints d’un cancer au plus tard quinze ans après l’arrêt du traitement.

C’est une mesure emblématique du 3^ème Plan Cancer qui vient d’être adoptée.

Un grand jour et une avancée « historique » selon les mots de François HOLLANDE pour le droit des malades. Un soulagement aussi pour beaucoup.