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Félicitations aux Drs R.Basto et R.Rodriguez de Curie


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Médaillés d’argent du CNRS 2024 !

Chaque année, le CNRS récompense les femmes et les hommes qui ont contribué de manière exceptionnelle au dynamisme de l’institution et à l’avancée de la recherche française. Pour cette édition 2024, le Dr Renata Basto, cheffe de l’équipe Biologie des centrosomes et de l’instabilité génétique, et le Dr Raphaël Rodriguez, chef de l’équipe Chemical Biology, sont les heureux lauréats de la médaille d’argent du CNRS.

Les médailles d’argent du CNRS distinguent des chercheurs et des chercheuses pour l’originalité, la qualité et l’importance de leurs travaux, reconnus sur le plan national et international.

Cette année, une médaille d’argent a été décernée au Dr Renata Basto, cheffe de l’équipe Biologie des centrosomes et de l’instabilité génétique (CNRS UMR144 / Sorbonne Université). Avec son équipe, elle étudie les mécanismes régulant le nombre des centrosomes et les chromosomes, car une dérégulation de ce nombre peut être impliqué dans diverses pathologies telles que le cancer. Les recherches de l’équipe de Renata Basto combinent différents types de microscopie avancée et analyses d’images avec des différents modèles in vivo et in vitro pour comprendre les causes et conséquences de l’instabilité génétique, visant à éclairer les principes de prolifération et divisions cellulaires.

« Je suis heureuse que l’originalité, le travail et l’implication des membres de mon équipe - passés et présents - soient reconnus par le CNRS au travers de cette distinction prestigieuse. Je remercie sincèrement tous les membres de l’équipe Basto. C’est avant tout leur prix ! » se réjouit Renata Basto.

Également lauréat d’une médaille d’argent, le Dr Raphaël Rodriguez, chef de l’équipe Chemical Biology (CNRS UMR3666 / Inserm U1143). Son équipe exploite des petites molécules pour étudier la biologie cellulaire, combinant synthèse chimique et biologie moléculaire pour comprendre les processus pathologiques. Elle a notamment identifié des mécanismes d’internalisation des métaux, influençant la régulation épigénétique et la plasticité cellulaire. Ainsi, son équipe développe de nouvelles drogues expérimentales qui manipulent ces mécanismes pour des bénéfices thérapeutiques, promouvant une médecine du futur basée sur les principes universels de la chimie-physique.

« Je félicite tous les membres de mon équipe pour leurs efforts de grande qualité, et je remercie mes collègues pour leur soutien. Tout reste à faire. » déclare Raphaël Rodriguez.

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