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Pelouses et couleurs


La pelouse d’un stade peut devenir un acteur important d’une rencontre sportive.

Samedi après midi, Stade de France, théâtre de la finale de la Coupe du Monde de 1998 : l’équipe de France de rugby affronte celle du Pays de Galles. Des bleus contre des rouges, du très classique en France ! Des bleus et des rouges qui ont été battus au premier match et qui sont donc crispés. Un match à oublier, sauf pour la pelouse. Installée la semaine précédente, elle a souffert autant que les spectateurs. Chaque mêlée s’est achevée dans des monticules de terre et de pelouse soulevés par les crampons des joueurs. Après quelques exercices de cette nature, le Stade de France ressemblait à une prairie de montagne. Les joueurs et les jardiniers ont profité du moindre moment d’arrêt pour boucher les trous de taupe. Les rouges ont gagné au rugby.

Toujours samedi après midi, les Verts de St Etienne affrontaient les oranges de Montpellier. La pelouse des Verts est indéfinissable entre herbe, boue et neige. Le match commence quand même. En seconde mi temps, la neige qui tombe en abondance  transforme la pelouse en terrain de jeu pour ours blancs. Les joueurs et les jardiniers se mettent à la pelle pour dégager les 18 mètres. Les verts ont gagné au football.

Des chutes mais pas pour mon post

sainte24

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