Nous sommes retournés ce week end au temple de Limoges, où nous nous sommes mariés, il y a 38 ans avec Irène. Nous y étions la semaine dernière pour un dernier adieu à ma belle-mère, et peut être aussi, pour acter que nous sommes, Irène et moi, désormais « orphelins » d’ascendants. Heureusement que nos deux familles (7 enfants de son côté et 5 du mien), nous assurent des réunions familiales qui dépassent parfois les 50 invités !

Ce samedi, nous étions au temple pour un nouveau mariage, celui d’une de mes nièces et nous nous sommes retrouvés les mêmes que la semaine dernière, mais associés dans une joie profonde. Difficile de ne pas penser au texte de l’Ecclésiaste :

« Il y a un temps pour tout,

Un temps pour toute chose,

Un temps pour naître et un temps pour mourir,

Un temps pour pleurer et un temps pour rire,

Un temps pour se lamenter et un temps pour danser ».

Malgré le temps qui passe et la distance, nous retournerons souvent à Limoges, car comme le dit la Parabole :

« Tu n’as que la force que tu as. Mais va quand même. (…) »