Hier, au n°120 rue Antoine Charial dans le 3e arrondissement, c’est une Maison du Pari rénovée que nous inaugurions avec Jean-Jack QUEYRANNE, et Michel LEBON, Président de l’association et des représentants des partenaires privés.

L’occasion pour chacun des financeurs de rappeler non seulement l’utilité d’une telle structure mais également de souligner, chacun avec ses propres mots, l’importance de l’engagement associatif et du bénévolat dans notre société actuelle. Pour ceux qui ne les connaissent pas, les Maisons du Pari (pour Point Accueil de Rencontre et d’Insertion) proposent d’héberger les familles de personne hospitalisée.

Si j’intervenais hier en tant que Maire d’arrondissement (je précise d’ailleurs qu’il existe une autre Maison du Pari à Pierre Bénite), ce projet associatif fait aussi largement écho à la manière dont j’ai pensé les questions de santé en tant que cancérologue et en tant que directeur du Centre Léon Bérard.

J’ai souvent eu l’occasion de le dire à propos de la maladie : nous ne devons pas seulement « donner des soins », ce qui est déjà un acte en soi, mais nous devons surtout « prendre soin ». En ce sens, je veux dire qu’il faut considérer le malade comme une personne dans son entièreté, avec sa vie sociale et familiale. Le PARI l’a bien compris et il y participe pleinement, depuis 20 ans, en levant les freins matériels qui peuvent empêcher la présence, auprès des malades, de leurs proches.

Pour plus d’information concernant cette association :

http://www.maisondupari.org