Constipation et mal de dos : comprendre le lien pour mieux soulager vos douleurs

Saviez-vous qu'une "simple" constipation peut déclencher un mal de dos ?

16 min
Santé et bien-être
16 October 2025 à 4h38

Vous souffrez de douleurs lombaires, mais aussi de troubles intestinaux ? Vous faites (très) probablement partie des 30% dont les maux de dos sont liés à un problème digestif. Et si la solution était dans vos toilettes ? On vous explique tout (et on vous donne les solutions).

Constipation et mal de dos : un duo inattendu

Il aurait fallu m’y attendre, mais ce n’est qu’après des années de pratique que j’ai vu le tableau se répéter. Claire, 42 ans, arrive au cabinet, le dos en compote depuis des mois. Son médecin avait prescrit radio sur radio : rien d’anormal. Aucune chute, pas de sport déraisonnable. Mais un détail me saute aux yeux : elle confie du bout des lèvres avoir "toujours eu un transit paresseux". C’est là qu’il faut creuser ! Cette histoire n’est pas isolée : on néglige trop souvent l’influence du ventre sur le rachis — terme désignant simplement la colonne vertébrale, empilement de vertèbres formant l’axe central du corps.

« En naturopathie, il est impossible de compartimenter le corps humain : chaque système communique avec les autres. Une lombalgie qui persiste s’éclaire parfois par une simple amélioration du transit ! »

Comment des selles stagnantes peuvent déclencher des douleurs lombaires

On croit trop vite que le mal de dos est purement mécanique, alors que l’effet domino du système digestif est majeur. Quand les selles stationnent dans le côlon (c’est la définition même de la constipation), elles créent une pression constante sur les tissus voisins. Ce phénomène appuie non seulement sur les muscles lombaires mais aussi sur les nerfs périphériques qui émergent de la colonne. Résultat : douleurs dans le bas du dos, sensation de poids ou d’étau.

Le péristaltisme — contractions musculaires ondulatoires qui font progresser les aliments et déchets tout au long du tube digestif — ralentit alors : moins il y a de mouvement intestinal, plus la pression augmente, et plus votre dos souffre.

Le système digestif et la structure vertébrale ne sont pas deux mondes séparés : ils partagent innervation, vascularisation et même certaines enveloppes protectrices (fascias).

Le système digestif et la colonne vertébrale : une relation intime et réciproque

Ce que peu soupçonnent, c’est la proximité anatomique entre côlon et colonne lombaire. Ajoutez à cela les fascias — fines membranes conjonctives reliant organes et muscles profonds — et vous obtenez un réseau où tout déséquilibre viscéral peut se transmettre à l’axe vertébral.

Des études récentes montrent que certains nerfs desservent à la fois les segments intestinaux et les structures lombaires ; c’est pourquoi une simple congestion digestive peut déclencher ou entretenir une douleur dorsale sans cause "classique" visible à l’imagerie. Il est donc essentiel de prendre en compte le ventre pour soulager durablement le dos.

Mécanismes détaillés : comment la constipation se transforme en douleur dorsale

Pression et distension : l'effet mécanique des matières fécales sur les vertèbres lombaires

Au fil du temps, l’accumulation de selles dans le côlon n’est pas qu’un simple désagrément digestif. Elle devient un vrai problème mécanique ! Lors d’une consultation avec un marathonien de 53 ans, j’ai constaté que sa douleur lombaire coïncidait toujours avec ses épisodes de transit ralenti. Après avoir écarté une cause orthopédique, le lien s’est imposé : la pression exercée par les matières fécales distend le côlon, lequel vient comprimer les structures voisines.

Structures anatomiques affectées :
- Disques intervertébraux (amortis entre chaque vertèbre)
- Muscles paravertébraux (soutiennent et mobilisent la colonne)
- Nerfs lombaires (dont le nerf sciatique)
- Ligaments pelviens et fascia thoraco-lombaire

L’irritation de ces nerfs, souvent ignorée par la médecine classique, crée alors cette douleur diffuse mais persistante qui donne l’impression d’avoir "le dos bloqué". Voilà pourquoi une approche purement musculo-squelettique ne suffit jamais !

Le rôle des fascias : quand la tension intestinale se répercute sur la colonne vertébrale

Les fascias sont des membranes fines mais robustes, qui enveloppent tous nos organes et muscles comme une seconde peau interne. Ils relient notamment les intestins à la colonne vertébrale et aux muscles du dos (source).

En cas de constipation chronique ou d’inflammation abdominale, ces fascias peuvent se rétracter ou s’épaissir — comme je l’ai vu chez de nombreux patients souffrant à la fois de "ventre dur" et de douleurs dorsales. Cette tension se transmet mécaniquement à la colonne vertébrale lombaire et même jusqu’aux dorsales.

Inflammation et spasmes : réactions en chaîne du système digestif aux douleurs dorsales

La constipation est rarement isolée : elle traduit souvent une inflammation latente du système digestif (notamment au niveau du côlon). Cette inflammation active des spasmes musculaires intestinaux — contractions involontaires ressenties parfois comme crampes dans le ventre — qui peuvent diffuser vers le dos. Résultat : des douleurs dites référées, localisées dans la région lombaire ou sacrée.

Résumé clé : inflammation digestive → spasmes intestinaux → douleurs référées dans le dos.

Cette réaction en cascade explique pourquoi tant de personnes continuent à souffrir malgré traitements locaux… Personne ne pense au ventre, grave erreur !

Le lien neurologique : influence du système nerveux autonome sur la douleur réciproque

Le système nerveux autonome régule sans cesse notre transit intestinal (péristaltisme), la tension musculaire et même notre réponse au stress. Il se divise en deux branches majeures :
- Sympathique (réponse "lutte ou fuite")
- Parasympathique (mode repos/digestion)

En cas de stress ou de constipation chronique, ce système s’emballe : digestion ralentie et contraction accrue des muscles du dos, créant un cercle vicieux (voir source).

Fonctions impliquées par le système nerveux autonome :
- Transit intestinal (péristaltisme)
- Tension musculaire lombaire/dorsale
- Réponse globale au stress/cortisol

Grossesse : impact de la relaxine et des changements physiologiques

La grossesse complique encore tout cela ! Sous l’effet de l’hormone relaxine — dont le rôle est d’assouplir les ligaments du bassin pour préparer l’accouchement — on observe une hyperlaxité ligamentaire qui fragilise carrément la colonne vertébrale (source). Ajoutez-y le poids croissant du bébé qui comprime directement le côlon… Résultat ? Constipation fréquente ET douleurs lombaires majorées.
Pour approfondir les interactions ventre-dos chez la femme enceinte : douleurs au ventre et au dos pendant la grossesse

Autres troubles digestifs générateurs de mal de dos

Ballonnements et gaz : un effet direct sur le rachis

Si vous pensiez que seuls les constipations sévères pouvaient martyriser votre colonne, détrompez-vous. Les ballonnements et l’excès de gaz ne se limitent pas à un inconfort social ou une simple gêne. Lorsqu’ils distendent l’abdomen, ils créent une pression interne qui s’exerce directement sur les tissus voisins, y compris... le rachis ! Ce mécanisme est loin d’être anecdotique : comme pour la constipation, c’est la distension du tube digestif qui finit par solliciter — voire irriter — fascias et muscles lombaires. La transmission de la tension via ces membranes (voir source) explique pourquoi certains patients ressentent un mal de dos brutal après un repas copieux ou trop fermentescible.

Schéma humoristique d'un ventre gonflé pressant sur la colonne vertébrale

Pour ceux qui doutent encore, j’ai vu en consultation des sportifs affutés plier sous l’effet d’un simple épisode de météorisme (accumulation exagérée de gaz). On ne peut pas traiter sérieusement le dos sans tenir compte du contenu abdominal !

Syndrome de l’intestin irritable (SII) : douleur chronique et impact dorsal

Le Syndrome de l’Intestin Irritable (SII) n’est pas qu’une affaire de digestion difficile. Il se manifeste par des alternances entre diarrhée et constipation, douleurs abdominales diffuses, ballonnements, flatulences… mais aussi, plus insidieusement, des douleurs musculaires et dorsales. L’inflammation chronique et les spasmes intestinaux associés au SII créent une tension permanente sur les nerfs et structures lombaires.

Symptômes du SII impactant le dos :
- Douleurs abdominales récurrentes
- Alternance diarrhée/constipation
- Ballonnements gênants
- Sensation de barre ou tension dans le bas du dos (voire haut)
- Fatigue accrue liée à l’inconfort digestif constant

Cette chronicité pousse souvent à multiplier les examens médicaux… alors qu’un rééquilibrage intestinal peut déjà lever bien des blocages musculo-squelettiques !

Intolérances alimentaires (gluten, produits laitiers...) : des causes méconnues

On méprise trop rapidement le rôle des intolérances alimentaires dans les douleurs dorsales chroniques. Gluten ou produits laitiers arrivent en tête du banc des accusés : pour certains profils sensibles, leur ingestion provoque inflammation intestinale voire auto-immunité larvée (comme dans la maladie cœliaque non diagnostiquée), production accrue de gaz et tensions viscérales qui rejaillissent sur le dos. Les maux sont parfois diffus : lombalgies flottantes, douleurs musculaires…

L’auto-diagnostic d’une intolérance alimentaire peut être dangereux. Seule une consultation médicale permet d’identifier précisément une réaction à un aliment.

Reflux gastro-œsophagiens et hernies hiatales : douleurs irradiant dans le dos

Il est fréquent d’associer reflux gastro-œsophagiens (RGO) ou hernie hiatale à des douleurs thoraciques ou épigastriques. Mais beaucoup ignorent que cette inflammation peut aussi provoquer des tensions remontant jusqu’au rachis dorsal (milieu du dos), voire cervical (nuque). Pourquoi ? Parce que l’irritation chronique crée une hypertonie réflexe des muscles posturaux adjacents.

Liste non exhaustive des douleurs liées aux reflux/hernie pouvant atteindre le dos :
- Brûlure rétro-sternale irradiant vers le milieu ou haut du dos
- Sensation d’étau thoracique associée à des contractures dorsales/cervicales
- Point douloureux interscapulaire (entre les omoplates)
- Parfois crampes ou lourdeurs en position allongée/après un repas copieux

Appendice et autres organes : inflammations perturbant le système vertébral

Il ne faut pas oublier que toute inflammation d’un organe digestif — appendice bien sûr, mais aussi foie congestif ou vésicule biliaire paresseuse — peut occasionner ce qu’on appelle une douleur référée dans la colonne vertébrale. Ces signaux erratiques brouillent le diagnostic classique…

« C’est quand rien ne semble logique dans vos douleurs qu’il faut élargir la recherche au-delà du squelette. Notre corps parle par ricochets — il suffit d’écouter assez loin pour comprendre où ça coince vraiment ! »

Soulager naturellement la constipation et le mal de dos

L’hydratation : boire pour mieux évacuer

On ne le répètera jamais assez : l’eau est un pilier négligé du transit. Un tube digestif assoiffé, c’est comme une autoroute embouteillée par manque de circulation ! Les dernières études sur des milliers d’adultes montrent sans ambiguïté que l’apport hydrique quotidien conditionne la consistance des selles et la fréquence des évacuations (source). En clair, sans eau suffisante, vos selles durcissent et stagnent.

Pour ramollir les selles (oui, appelons un chat un chat), tablez sur 1,5 à 2 litres d’eau par jour – davantage si vous transpirez ou faites du sport. Privilégiez l’eau plate ou faiblement minéralisée et ajoutez des tisanes douces (fenouil, verveine) qui hydratent sans irriter. Attention aux sodas ou jus industriels : ils déshydratent plus qu’autre chose ! Le café ? Un par jour passe encore, au-delà gare à l’effet diurétique qui aggrave l’affaire.

Résumé : Boire régulièrement favorise des selles plus souples, un transit facilité et moins de douleurs dorsales liées à la constipation.

Alimentation anti-constipation : les fibres essentielles

Ceux qui négligent les fibres paient souvent le prix fort côté intestins ET colonne… Les recommandations sérieuses parlent de 30g de fibres/jour pour soutenir un bon mouvement intestinal ([légumes verts], légumineuses, céréales complètes, fruits frais et secs). Leur secret ? Elles augmentent le volume du bol fécal et stimulent les contractions naturelles du côlon (péristaltisme).

Voici une liste recommandée :
- Légumes cuits (brocolis, courgettes)
- Fruits frais (kiwi, poire, pruneaux)
- Céréales complètes (avoine, riz complet)
- Légumineuses (lentilles, pois chiches)
- Graines de chia ou de lin

Limitez les aliments ultra-transformés, le sucre raffiné en excès, et les produits laitiers si vous y êtes sensible, car ils peuvent ralentir le transit ou irriter l’intestin.

Assiette colorée et équilibrée riche en fruits et légumes pour lutter contre la constipation

Plantes alliées du transit : douceur et efficacité naturelle

Certaines plantes n’ont pas volé leur réputation ! Voici un tour d’horizon critique et efficace :

  • Psyllium blond : capte l’eau dans l’intestin → augmente le volume des selles → effet laxatif doux mais très efficace. Idéal pour constipations chroniques.
  • Séné : stimulant puissant des contractions du côlon (action rapide mais à réserver en cure courte !)
  • Mauve : action émolliente (ramollit les selles), conseillée chez les sujets sensibles ou fragiles.
  • Bourdaine : stimule la motricité intestinale par une légère irritation locale ; attention à l’usage prolongé.

Respectez les posologies : plus n’est pas toujours mieux. Demander conseil est indispensable.

L’importance du mouvement : stimuler le péristaltisme et renforcer le dos

Arrêtons les clichés : rester planté sur une chaise est le meilleur moyen de bloquer vos intestins… et d’affaiblir votre dos. L’activité physique stimule directement le péristaltisme intestinal tout en renforçant vos muscles posturaux :

Liste d’exercices doux efficaces :
- Marche rapide quotidienne (30 min minimum)
- Yoga orienté ventre/dos (postures douces)
- Natation lente ou aquagym
- Cardio modéré type vélo d’appartement
- Quelques abdominaux hypopressifs (à tester sous supervision !)

Relaxation et gestion du stress : apaiser ventre et colonne vertébrale

Le stress contracte tout ce qu’il peut — y compris votre ventre ! Une mauvaise gestion augmente tension musculaire dorsale ET spasmes digestifs (source). Respiration profonde, cohérence cardiaque ou méditation sont accessibles gratuitement à tous ; commencez chaque journée par 5 minutes d’exercice respiratoire.

Résumé : détendre le système nerveux permet de relâcher les tensions digestives et musculaires dorsales. Simple, mais rarement appliqué.

Conseils globaux et approches douces en naturopathie

Hygiène de vie basique ? Oui — mais presque jamais respectée. Veillez à manger à heures régulières, prenez votre temps aux toilettes (!!), surveillez votre sommeil. Ajoutez des massages abdominaux doux pour stimuler mécaniquement le transit dès le réveil.

Je me souviens d’un patient chronique pour qui rien ne fonctionnait, sauf les automassages abdominaux appris en cabinet. Après trois semaines d’application quotidienne… non seulement il retrouvait un transit normal mais sa lombalgie persistante avait disparu sans manipulation lourde ni médicament — preuve vivante que ces méthodes trop vite jugées « accessoires » mériteraient bien plus de crédit !

Compléments alimentaires : focus sur OptiFibre®

Parfois, même avec tous vos efforts, le compte n’y est pas côté fibres… Là un complément comme OptiFibre®, source de fibres solubles issues du guar, peut aider à réguler en douceur sans irriter l’intestin (mode d’emploi ici). Son action prébiotique favorise aussi la flore intestinale bénéfique. Restez lucide : ce n’est ni miraculeux ni suffisant seul ; il doit s’inscrire dans un accompagnement global personnalisé.

N’utilisez jamais un complément alimentaire en substitution systématique à une alimentation diversifiée. Demandez toujours conseil avant toute cure prolongée.

Mal de dos d’origine intestinale : reconnaître les signes et agir

Certaines douleurs du dos ne relèvent pas que d'une question de posture ! Les indices d’un mal de dos à origine digestive restent incroyablement sous-estimés.

Douleur sourde et persistante : signaux à ne pas ignorer

Trois grands signaux d’alerte méconnus :
- Douleur dorsale sourde, persistante, souvent localisée dans la région lombaire, parfois difficile à situer précisément.
- Fluctuations liées aux repas ou au transit : une gêne qui s’intensifie après avoir mangé, lors des épisodes de constipation ou juste avant d’aller aux toilettes (la douleur s’allège parfois après une selle).
- Symptômes digestifs associés : ballonnements, sensation de ventre tendu, inconfort abdominal concomitant à la douleur dorsale (sources : anodyne.fr, cabinetb.com).

Résumé : si votre mal de dos persiste et coïncide avec des troubles digestifs, ce n’est pas un hasard.

La relation avec le transit : un indicateur important

Vous vous êtes déjà demandé si votre mal de dos diminue une fois votre transit mieux régulé ? C’est l’une des clefs ignorées par la majorité des praticiens classiques ! Observez aussi si la douleur s’accentue lorsque la constipation s’installe ou en cas de difficultés au niveau des sphincters anaux pendant le passage des selles — indicateurs directs d’une origine plus globale.

Surveillez votre transit en cas de mal de dos chronique :
⭐⭐⭐⭐⭐
(Rien ne doit être négligé)

Importance du diagnostic médical : éviter l’autosurveillance naïve

Ne masquez pas des douleurs chroniques du dos uniquement avec des solutions naturelles, surtout si elles persistent ou s’intensifient. Certaines pathologies sérieuses (hernie, inflammation sévère, atteinte organique) peuvent être masquées. La naturopathie complète mais ne remplace jamais l’avis et le diagnostic médical professionnel.

Retrouver l’harmonie naturelle entre ventre et dos

Le système digestif et le dos sont indissociables, un fait souvent négligé. La constipation chronique, les troubles intestinaux, la sédentarité… tout finit par parler à travers votre colonne ! Prendre soin de ses intestins est une condition essentielle à l’équilibre musculo-squelettique durable (cf. [drdesforges.com]). Le corps ne doit plus être vu comme une addition d'organes isolés : chaque déséquilibre intestinal résonne jusque dans les lombaires.

Adoptez une démarche naturelle et bienveillante : ce n’est ni alternatif ni marginal, mais un bon sens validé par des faits. Alimentation variée, hydratation régulière, mouvement quotidien et gestion du stress : ce sont des bases incontournables ignorées par ceux qui préfèrent la facilité chimique. Le naturel n’est ni lent ni inefficace, il est global et demande de la constance.

Checklist express : clés pour harmoniser digestion et dos :
- Boire : 1,5 à 2 L d’eau plate par jour
- Manger plus de fibres : fruits, légumes, céréales complètes
- Bouger quotidiennement : marche rapide, yoga doux, étirements
- Se détendre : exercices respiratoires simples matin et soir

N’attendez pas que le mal s’installe : agissez chaque jour pour restaurer l’harmonie naturelle entre ventre et colonne. Ce n’est pas un luxe, c’est la base de votre santé globale.

Constipation et mal de dos : comprendre le lien pour mieux soulager vos douleurs

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